Quelques autres graphiques courants
Il nous faut tout d'abord souligner l'importance de la cartographie. Dans de nombreux domaines, le recours à une carte permet de visualiser très facilement des tableaux de chiffres parfois arides.
Exemple :
Exemple :
Un autre exemple concerne l'utilisation de la pyramide des âges décrivant la distribution d'une population selon l'âge et le sexe.
Exemple :
Considérons la pyramide ci-dessus correspondant à la population des diplômés de 2001 en philosophie et lettres, en Communauté française de Belgique. Sur ce graphique, les chiffres associés aux barres de gauche concernent les hommes, ceux apparaissant à droite correspondent aux femmes. Ainsi, à titre d'exemple, on constate que seulement 7.4% des diplômés sont des hommes âgés de 22 ans. D'un autre côté, les femmes âgées de 23 ans représentent 20.7% du total des diplômés. La constatation majeure de ce graphique est son caractère dissymétrique soulignant une plus grande proportion de femmes diplômées que d'hommes diplômés.
Exemple :
Il est aussi d'usage courant de mettre sur un même graphique des informations relatives à des enquêtes distinctes ou de répartir les données en catégories. Ces graphiques doivent faciliter des comparaisons entre des situations distinctes.
Exemple :
Exemple :
Le graphique ci-dessous présente les taux moyens de réussite, de redoublement et d'abandon au terme de la première année à l'université en Communauté française de Belgique, au début des années 2000, selon que les étudiants sont directement issus de l'enseignement secondaire belge, de l'enseignement secondaire étranger, de l'enseignement supérieur hors-universités (SHU) ou qu'ils sont bisseurs, voire tripleurs.